Lycéens et problèmes sociaux
trouvent d'autant plus étonnés et surpris devant l'opposition entre un codeprescrit et un code de fait qu'ils se sentent victimes d'une "culture" dépourvue de sens pratique et relevant de théorique et du modèle à réaliser. Il s'agit en fait pour les lycéens d'une distorsion et d'un déphasage entre uneculture passéiste, véhiculée sous forme de "recettes", sans aucun lien avec la réalité vécue et une "culture de fait" caractérisée par son ouverture sur les conflits et les contradictions sociales, culturelles, économiques, politiques, etc.En effet, étant victimes d'un décalage entre le "reçu" et le "vécu", les lycéens se sentent privés dans leur entourage d'un idéal du moi favorable et d'identification "saines" au cours de leur processus de socialisation.C'est évidemment pour ces raisons profondes que les élèves donnent plus d'importance aux problèmes sociaux.
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